gros bourg à une dizaine de kilométre au sud de Vierzon. il y avait dans le temps une abbaye. voilà ce qu'il en reste.
gros
contreforts
et,
plus
loin,
une
arcade
donnent
du
style à
cette
église.
la
tour
où
clocher
carré
est
imposant.
des gargouilles là haut.
continuons
d'en
faire
le
tour..
imposant,
non ?
Quelques renseignements sur cette tour: c'est la Tour de Chamborand: elle est carré, massive, affectant la formed'un donjon féodal, symbole de puissance. elle fait 42 métres de haut et est visible dans un rayon de 6 kilométres. les huits piliers assurant sa consolidation sont terminés par des clochetons effilés. ces clochetons étaient ornés de statues dont la hauteur ne dépassait pas un métre. Ces statuettes furent brisées durant les guerres de religion et la révolution. Il n'en reste qu'une représentant un paysan avec les mains liées dans le dos. la Tour est divisée en quatre étages d'égale grandeur (8 m environs).
premier étage: Portail de 5.8 m surmonté d'un écu en relief, portant l'inscription suivante: " révérend père en Dieu, frère Bertrand de Chamborand, vénérable abbé de l"abbaye de Massay a fait faire cette présente tour, l"an mil quatre cent quatre vingt (un)."
deuxième étage: Trés sobrement décoré. porte de petites niches ornées autrefois de statues détruites pendant les guerres de religion.
troisième étage: Totalement dépourvue d'architecture.
quatrième étage: Style remarquablement riche. Est orné de deux élégantes balustrades qui offrent l'intérêt de leurs entrelacs composant le nom du constructeur.
La tour Chamborand abrite deux cloches, l'une de 100 kg et l'autre de 350 kg. Jusqu'à la révolution, le clocher abritait sept cloches. Cinq furent fondues sur ordre du comité de salut Public.
un vrai pigeonnier.
on voit
ici,
les
quatres
étages.
là haut, à gauche...le paysan avec les mains liées dans le dos.
les
balustrades
les lettres donnant le nom du "constructeur".
les piliers où tronaient les statues victimes des guerres.
un petit
animal..
on va de
découverte
en
découverte.
on ne se
lasse
pas.
encore une bébête.
vol de
pigeons.
y'a
du
monde
au
balcon.
je
pense
que pour
la
tour,
j'en ai
fait
le
tour.
Salle Capitulaire: servait d'atelier, de travail moral et intellectuel et de lieu de réunion sous la présidence de l'abbé. Des remblais considérables ont été exécutés vers le milieu du XVIIIième. On commença à noyer la base des trois baies apportant air et lumière. Pour atteindre l'obscurité nécessaire à la conservation du vin, on aveugla complétement les trois arcades gothiques (côté Ouest). Intérieurement, cet édifice, divisé en huit compartiments voûtés en ogive dont les arcs viennent se rejoindre au milieu, révèle une certaine beauté artistique. Les pendentifs des clefs de voûtes sont d'une exécution parfaite (moine avec son livre de prières, bouquets de fleurs, etc..). Des traces de peintures décoratives (fleurs de lys) sont encore apparentes sur toutes la surface de la voûte. Le dortoir des moines au premier étage, carrelé, muni de fenêtres étroites composait un étage occupant la surface entière et était de mêmes dimensions que la salle capitulaire.
c'est
un
bel
ensemble.
les
couleurs
sont
chouettes.
sur le côté,
on voit
des
traces
d'anciennes
extensions.
On passe maintenant à la chapelle Saint Loup qui date du XIIième. Le début du XIIième siécle est une époque remarquable où d'habiles ouvriers moines se livrèrent avec succés à la culture des beaux-arts, laquelle eût pour voie de conséquence la construction de cette chapelle dénommé également "chapelle de l'Abbé". Ce sanctuaire, totalement dépourvu de peintures murales se suffit à lui-même par sa beauté. Il accuse 15 métres de long sur seulement 3.50 métres de large. Son portail, légérement arqué et d'une délicatesse exquise, présente uner triple rangée de dents de scie surmontée d'un superbe cordon de roses mi-épanouies. La porte est de chaque coté encadrée de colonettes à chapitaux ornées de feuillage. L'intérieur repose sur un plan rectangulaire à deux travées, lequel se termine par une abside en hémicycle. Si, de cette vue d'ensemble, on passe à l'étude des détails, on trouve que les deux travées sont à voûtes coupoliformes montées sur quatre branches d'ogives qui se croisent autour des clefs ornées de fleurettes. Ces branches sont gracieusement formées de trois boudins séparés par des arêtes réhaussées par un ruban plissé. Entre les travées de ce monuments se dressent d'imposants et solides pilastres composés chacun de cinq colonnes surmontées par des chapiteaux décorés de palmettes, de feuilles d'alcanthe. Les neufs baies éclairant l'édifice sont romanes, elles restent conservées dans leur état primitif. Cette construction, riche d'ornementation, offre un heureux spécimen du style de transition. Le plein cintre s'y marie agréablement à l'ogive et le contraste qui résulte de cette diversité constitue une harmonie constante.
sur le
côté.
on
va
voir
quelques
photos
du
presbytère.
même pas peur, le pigeon.
l'église
vue
de
ce
côté.
on va se diriger vers l'entrée de l'église abbatiale Saint Martin: un peu d'histoire.
Comprend une partie romane (deux fenêtres), située à gauche de la tour. C'est ce qui subsiste de l'édifice détruit par l'incendie de 1128. La deuxième partie (gothique) a été restaurée et remaniée après les différents pillages et destructions et fut terminée au XVième siécle.
La disposition générale de l'église est celle d'une basilique, vaste, imposante, sans transepts dont le plan repose sur un vaste parallélogramme terminé par un hémicycle.
Les statues placées sur chacun des socles ont été détruites par les protestants (1562 et 1563) et durant la révolution.
A l'intérieur, le temple de Massay consiste en une seule nef de 38 métres de long sur 11 métres de large. Sa voûte atteint 22 métres de haut et l'admirable fenêtrage répartit la lumière de trés agréable façon.
Les vitraux sont deux de époques. Le plus ancien, situé derrière le maître autel, est du XVIième siécle. Divisé en six compartiments, il représente à gauche: saint Roch, sainte Godule, saint c--me et saint Damien. à droite: sainte Catherine, saint Nicolas et sainte Madeleine. Les autres verrières, du milieu du siécle dernier, représentent des saints ayant pour rapport avec la paroisse et avec les travaux de la vigne: saint loup (patron de la Chapelle), saint Martin (patron de l'abbaye), saint Paxent (patron de la paroisse), saint Vincent (patron des vendangeurs).
Dans le choeur, 20 stalles en chêne dont le siége de chacun est d'un beau travail et d'un motif différent.
A proximité du Maître-autel, on remarque une crédence sculptées dans le mur.
Il est à remarquer, qu'en 1239, date de l'établissement du plan, un escalier d'environ 12 marches permettait d'accéder à la nef. La date du remblai n'est pas connue.
on entre dans la tour.
malgrés le nombre des vitraux, il fait sombre à l'intérieur.
la porte de sortie.
le
plafond
est
fait
de
lambris.
de décors
sont
peints
à
l'intersection
des
poutres.
peu
de
décoration,
les
principales
viennent
des
vitraux.
ils
sont
forts
colorés.
et
y'en
a
encore.
ils sont
tellement
colorés
que
peu
de
lumière
arrive
à
entrer.
pas
terrible
ces
photos.
va falloir
que
j'y retourne.
une
promenade
dans
le
village.
une
autre
tour.
c'est la tour des remparts de l'Abbaye (XII-XIVième siécle).
les
deux
tours.
une belle et vieille maison.
une fontaine...mais une grille nous en interdit l'entrée !! entre les barreaux alors.
continuons
notre
tour
du village.
belle grange et, originale en plus.allez, une dernière.
j'y suis passé par une belle journée d'hiver...en voici quelques photos.
ben oui,
c'est noël.
dirrection
Lury..
une lumière
a couper
le souffle,
le soleil
d'un côté, la
nuit de
l'autre...
un contraste,
j'vous dit pas.
trot tard,
c'est dit.
bon ben voilà....on continue la route vers Reuilly.
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