Histoire

de la ville de Menetou sur cher.

Un document qui en parle bien: les deux fichiers PDF sur Vierzon  et celui-ci aussi: Mennetou   et encore un autre: Mennetou 1

origine: Monestelum, monesto et enfin, vers le XVIIème siécle, Mennetou. ce nom vient probablement de Monastère. Ingertrude fille de Clotaire Ier fonda un monastère vers 586. la ville fut incendiée par les normands en 853. si la ville fut fortifiée par le seigneur de Vierzon, c'était surtout pour protéger cette dernière. Les fortifications auraient été conçues comme celles de vierzon.

les faits d'armes: Richard coeur de Lion assiégea la ville en 1196. le Prince Noir la prit en 1356. Bertrand du Guesclin, connétable de France chassa les Anglais et replanta la bannière à fleurs de lys sur la tour de Mennetou en 1370. Jeanne d'Arc passa une nuit au prieuré en 1429 alors qu'elle se rendait à Chinon.

la ville de Menetou, assise sur la rivière de Cher, dans l'ancien ressort du baillage d'Issoudun, transféré en celui de Blois, était du domaine des seigneurs de Vierzon, et ses habitants furent affranchis par Hervé, deuxième du nom, seigneur de Vierzon; ce qui fut confirmé depuis par ses sucesseurs.

Hervé, troisième du nom, fonda, ou rétablit un monastère de filles en cette ville, l'an 1213, et leur donna ses dixmes de Lury, du Mesnil, de Theillé, et autres choses exprimées en la fondation, et les religieuses furent tirées de l'abbaye de Beaumont-lés-Tours. Hersende de Vierzon, femme de Guillaume, troisième du nom, seigneur de Linieres, augmenta la fondation, en l'an 1216, et Henri, premier du nom, seigneur de Seuly, et Marie Dampierre, la femme, veuve d'Hervé, second du nom, seigneur de Vierzon, l'an 1320.

l'église saint Urbain doit son nom à un pape qui exerça ses fonctions de 220 à 230. Son clocher du XIème est la partie la plus ancienne de l'édifice. Elle fut reconstruite au XIIIème siécle. La porte d'entrée n'est pas centrée. La partie sud a disparu. (N.R)

Un monastère aurait été construit vers 586 par la fille de Clotaire Ier. Détruit par les Normands, il est reconstruit au XIIIème siécle par Hervé II, seigneur de Vierzon, qui fait élever le château et les fortifications à la même époque. Le monastère est cédé aux religieuses bénédictines en 1686. Le château détruit vers 1920, est devenu une maison bourgeoise. La ville a conservé une grande partie de ses remparts: trois belles tours circulaires à archères et trois portes à tours carrées. il reste un pont levis sur le canal côté sud.

Extrait de "Mémoires de la société des antiquaires de Picardie."Edition 1838-1944.

  J'ai signalé une charte de 1183, d'après laquelle les hommes d'Hervé Ier de Vierzon, détenaient un fief relevant du prieuré de Mennetou sur Cher. Le fief fut rendu aux religieuses, qui abandonnèrent, en échange, plusieurs biens, et notamment les plantes de Pinaud. Ce nom de lieu, dû, sans doute, à l'encépagement se trouve encore à Mennetou, l'un des meilleurs vignobles du berry.

Extrait de " Catalogue descriptif et raisonné des manuscrit.." Par Auguste Dorange. Edition 1875.

1328:  "Livre des voeux, ou registre des professions des religieuses tant du couvent de l'abbaye royale de Notre Dame de Beaumont lez Tours, ordre de saint Benoît, que de celui du prieuré de Menetou sur cher, membre immédiatement dépendant de la dite abbaye, selon l'ordreet le temps de la profession des religieuses de l'un et l'autre monastère indistinctement, comme ne faisant les deux communautés qu'une seule et même maison..."

Extrait de "Journal de voyage de dom Jacques Boyer,..."Par Jacques Boyer. Edition 1886.

 ...A Mennetou, où il y a un monastère de bénédictines qui dépendent de l'abbaye de Beaumont lés Tours, dont Madame de Verthamont de la Ville-aux-Clercs est prieure. Notre chapitre général leur a accordé une aumône de 40 écus.

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 Extrait de: " Jean de Reilhac,..."par Jean de Reilhac(1450-1505). "A Tours Mars 1457. Requisition faite par des gens de guerre chez les paysans. Rémission pour Guillot Carré, archer des ordonnances, prisonnier à Usson.

    Le suppliant et son compagnon, Rolin Martin, cherchaient de l'avoine pour leurs chevaux; s'étant adressés à deux paysannes, on la leur refusa. Ils allèrent alors en prendre de vive force en gerbes pour le battre eux-mêmes, survint le mari d'une des femmes appelé Jean Clovis . de la rixe dans laquelle les archers bléssèrent le paysan.

  Remissio pro Guillelmo Carre. Charles, &c. Nous avoir receu humble supplication de Guillot Carré, natif du lieu de Menetou sur Cher, aagé de XXXVI ans ou environ, archier de notre ordonnance soubz la charge de notre armé escuier d'écuierie...., prisonnier en noz prisons d'Usson..."

  "Blaise le Loup. Sénéchal d'Auvergne, s'en qualifie seigneur en 1427. Louis le Loup, qui épousa Antoinette de la Fayette, et Christophe le Loup, son fils, seigneur de Montfan, Pierre-Brune, Mennetou sur Cher et Aigurande..."

Extrait du "Catalogue des actes de François Ier." Par Paul Marichal. Edition 1887-1908.

2 mars 1520: Déclaration de l'hommage de Robert le Loup pour la seigneurie de Mennetou-sur-Cher

Extrait de "Inventaire des arrêts du conseil d'état." Par Noël Valois. Edition 1886-1893.

24 avril 1594: Arrêt faisant remise aux habitants de Mennetou-sur-Cher des restes de laurs tailles des années 1589 et 1591.

26 janvier 1595: Arrêt accordant aux habitants de Mennetou-sur-Cher remise de l'arriéré de leurs tailles et crues, pour les années 1593 et 1594, pourvu que les receveurs des tailles n'aient point donné en payement aux gens de guerre les quittances de la crues des garnisons.

Extrait de " Mémoires de la société des antiquaires du centre." Edition de 1868-1945.

  ..." A Menetou sur Cher, la vinade était fixée autrement: la charte d'affranchissement dit en effet que les chevaux et les ânes de la franchise et ceux qu'on amènerait pour les louer au temps des vendanges seraient tenus de conduire le vin du seigneur pendant un jour. Dans les autres localités où la vinade n'était pas spécialement indiquée comme appartenant aux seigneurs, ces derniers pouvaient sans nul doute l'imposer, à titre de corvée ordinaire ou charroi, aux conditions habituelles, à tout serf possédant charrette et bêtes de somme.

    Par exception, à Menetou sur Cher, une autre corvée, se rattachant au même ordre d'idée, atteignait tous les charpentiers, domiciliés ou non, qui louaient leurs services à l'époque des vendanges. Ils étaient tenus, de fournir au seigneur une journée de travail pour relier ses tonneaux, si toutefois le seigneur avait des vignes à Menetou. Dans ce cas, le seigneur leur devait pour leur nourriture 3 deniers le matin et 3 deniers le soir...."

Extrait de " Bulletin de la société académique du Centre." Edition 1895-1905.

Avril 1899: ... Nous avons lieu de croire que c'est à cette époque (IXème siècle) déjà troublée par la première apparition des Normands, que les marches du Berry, c'est à dire les villes de Mennetou, Chabris, saint Christophe en Bazelle, Maray, Saint Loup, Mareuil, Valençay, Levroux, Château-Agars, Thésée et Selles-en-Berry, furent constituées comme faisant partie de la seigneuri et terre de Déols....

Extrait de " Revue du Centre". Edition  1879-1895.

    " Vers 1600, la communauté de Menetou était très pauvre et se composait de 28 religieuses dont 17 professes, 1 novices et 6 converses. Le revenu annuel était de 2.386 livres 8 sols. Le domaine du roi devait bien une rente de 30 livres aux religieuses depuis la destruction de leur moulin de la crevée pour la navigation du Cher, mais cette rente était réduite à 14 livres en 1570, et depuis lors, c'est à dire depuis 57 ans, la communauté n'avait rien reçu. Elle devait payer annuellement au curé de Menetou 33 septiers blé seigle, 6 poinçons de vin et 4 francs de rente.

   Les dépenses étaient celles-ci: pour exploiter leurs terres et pour leur service, les religieuses avaient cinq domestiques, un charretier, deux vignerons, un jardinier, une tourière dont les gages et la nourriture coûtaient environ 665 livres par an. Les dépenses courantes étaient: la viande de boucherie 600 l., menues denrées 400l., le sel 200l., le bois 300l., huile, chandelle et luminaire, 150 l.Dans ces conditions il était difficile de vivre, aussi l'intendant donna-t-il un avis favorable avec cette mention: "Cette communauté n'est point aisée et la plupart des religieuses se sont retirées chez leurs parents pour subsister." De son côté, la princesse de Conti, dame engagiste de Vierzon, s'intéressait au prieuré de Mennetou et écrivait à l'appui d'un mémoire identique adressé par l'abbesse de Beaumont au cardinal de Rohan, grand aumônier de France: " Le mémoire que voyla est plutôt embelly que diminué; l'abbesse de Beaumont-lez-Tours et la princesse de Conti en oront une grande obligation à M. le Cardinal."."..."Le prieuré de Menetou est dans une grande pauvreté tant par le peu de revenus que par les mauvaises années...et par le procès intenté pour le refus que l'on fait de payer les terrages dus par tous ceux de la ville qui les ont payés depuis plus de 600ans. Ils s'avisent de nous demander les titres qu'ils savent avoir été incendiés comme ceux de l'abbaye de Beaumont..." cette requête de l'évêque d'Orléans fut sans résultat, et l'abbesse de Beaumont qui était alors une princesse de la maison de Bourbon, s'en plaint vivement dans une lettre qu'elle adresse en 1746 à l'évêque de Meaux pour lui recommander le prieuré de Mennetou."

puis suit une description de Mennetou:" les tours carrées du XIIème siècle sont contemporaines des seigneurs de la maison de Vierzon; la jolie maison à ouverture ogivales située près de de la cure est du temps de Geoffroy de Brabant; quelques détails détails du château, par exemple une fenêtre géminée du XIVème siècle, du côté de l'Orient, sont de l'époque des Thouars et des Linières. Les le Loup ont bâti le pavillon de si belles proportions qui existe encore au couchant et ont laissé leurs armes parlantes, un loup, sur le manteau d'une des cheminées du première étage... Entre cette tour et la tour carrée dite porte bonne nouvelle, on voit deux étroites ouvertures romanes, en tout semblables, comme disposition, à celle du château de Vierzon, et pouvaient servir pour la défense aussi bien que pour éclairer. Elles donnent sur le rempart même, mais il ne faut pas oublier, que de ce côté, il y avait , nous venons de le voir, double enceinte, comme à Vierzon. Non loin de là, à quatre mètres environ de la tour ronde, du côté du couchant est une pièce voûtée dont la destination paraît difficile à définir, deux souterrains aujourd'hui murés y donnaient accès; sur la clef de voûte on voit une tête d'un art rudimentaire; une prise d'air pratiquée dans la voûte débouche dans le jardin voisin.

    La tour d'en-haut et la tour d'en-bas portent l'empreinte du commencement du XIIème siècle et ont dû être construite par Hervé Ier. la première est percée du côté de la ville d'une fenêtre romane géminée (groupée par deux) qui éclairait le premier étage, la porte ogivale; la jolie ouverture par laquelle on pénètre sur le rempart au levant est ornée de deux têtes à droite et à gauche. La tour d'en-bas est la plus belle des trois et d'une couleur picturale magnifique. Elle touchait à l'habitation des seigneurs et en faisait partie, aussi est-elle plus ornée; la porte est ogivale et garnie à l'intérieur de rondelles et de billettes; une belle et vaste ouverture romane pratiquée au premier étage a été bouchée au commencement du XVIème siècle et remplacée par une fenêtre renaissance à meneaux. Contre l'ordinaire, ces ouvertures sont à l'intérieur, mais il ne faut pas oublier qu'autrefois le Cher baignait les murs de ce côté, ce qui en rendait la défense plus facile, et aussi que la tour faisait partie du château lui-même, ce qui explique la belle cheminée à manteau avec écusson et support finement sculptés, qu'on voit encore au premier étage et dont les briques, effritées par le feu, indiquent le long usage.

   On a vu que le château avait été acquis au XVIIème siècle par les bénédictines de Mennetou dont le couvent occupa dès lors tout l''espace compris entre la porte d'en-bas et la porte bonne-nouvelle, longeant la grande rue jusqu'à l'angle du clocher paroissial.

Leur chapelle était contiguë à l'église; de l'autre côté se trouvait la grande salle capitulaire suivie du refectoire, de la cuisine et de la célerie. l'appartement de la prieure se trouvait dans l'angle sud, formé par la tour ronde et la porte bonne-nouvelle; le logement des pensionnaires, flanqué d'une tourelle, se trouvait entre le clocher , la sacristie et la grande rue; enfin le monastère possédait encore deux maisons situées dans la rue qui va de l'église à la grande rue, l'une était la maison des fermiers, l'autre était la grange des dîmes; entre cette dernière et le porche de l'église se trouvait un cimetière pour les enfants. 

  Le reste du château, le grand pavillon du XVIème siècle, la tour où se trouve le bel escalier de pierre et quelques dépendances ont été vendus il y a quelques années, pour la modique somme de 6000frs, et sont aujourd'hui transformés en auberge." (biblio:Mes archives, notes sur Mennetou et diverses seigneuries voisines, par G.Vallois, 1879)

"En 1429, Menetou-sur-Cher était aux mains des Anglais (avec Lury, l'Ormeteau et Ardelon). Le prix qu'on donna pour racheter ces 4 places.." En la même année 1429, le roi fit conduire de Vierzon à Ardeloue 4 grosses bombardes pour assiéger cette place qui étoit en la paroisse de Theillay. Les garnisons Anglaises qui étoient à Lury, Lormeteaux, Menetou, et Ardeloue pilloient tout le pais des environs. Mr le bailli de Berry vint à Vierzon pour prendre des mesures, et il fut résolu que l'on donneroit pour le rachapt de ces 4 places six cents écus d'or vieux au mareschal anglois qui commandoit les troupes de ces garnisons. Mr le bailly fit assembler à Issoudun les notables des villes voisinnes pour contribuer au paiement de cette somme; l'assemblée se tint le 9 septembre 1429..."

      " Pendant le carême 1592, Selles sur Cher, à l'aide de certaines intelligences, fut repris par les ligueurs. Menetou sur Cher ouvrit ses portes à M.de Lignerac."

Extrait de "Le cabinet historique." Edition 1854-1883.

  Seigneurie de Mennetou-sur-Cher, Nançay, Sigonneau, Jars et Bouchard. Grosse du procès-verbal d'adjudication aux enchères des terres susdites, dépendant de la succession du marquis de la Chastie, acquise, savoir: Nançauy par Charlotte de Hardoncourt, veuve de la Chastre; Jars et Bouchard avec les dépendances, les quartiers, Royers et Chevaise, par le duc de Navailles; Mennetou et Sigonneau par le duc de la Ferté-Senneterre. registre. 1665-1666. 56 feuilles papier, cahier in-folio.

Extrait de " Histoire de l'épidémie de Cholera-morbus dans le Loir-et-Cher en 1832." Par J.C.M. Marin-Desbrosses. Edition 1833.

  Je tire ces données d'un tableau. il y eu 62 cas dans la commune de Mennetou. 44 furent guéris et 18 en sont morts. sur ces 62 cas, il y eut 20 hommes dont 6 sont morts et 42 femmes, dont 12 sont mortes.

personnage à voir:

     Humbaut de Doué, le prieuré de Mennetou et l'église de Tenseau.(vers 1081)

    Philippe-Louis Thibault de la Carte(né le 24 avril 1699) Marquis de la Ferté Senneterre(Ferté saint Aubin), colonel du régiment de la Marche, époux de Marie Anne de Robodanges. Ce seigneur fit l'échange de la seigneurie de Nouan-le Fuzelier contre celle du Liod, près Mennetou, avec un sieur Le Conte Nonant de Pierrecourt, suivnat acte sous signature privées du 18 juillet 1778.

   Thibault de la Carte (Henry François), comte de la Ferté Sennecterre (Ferté saint Aubin), colonel du régiment du Perche, infanterie, baron de Doulcet et Cigogneaux en Berry, seigneur de Mennetou sur Cher.

    dans "Dictionnaire de la Noblesse"

    Messire Robert Le Loup, chevalier, seigneur de Mennetou sur Cher, est mentionné au procés-verbal de la coutume de Blois. Le Loup fit hommage au roy, l'an 1450, pour les seigneurie de Lorges, de Montgommery et de Mennetou: "d'azur, au loup passant, d'or."

    Le Loup, dame Anne, dame de Mennetou sur Cher.

    Le Loup, Anne, veuve de François de Cugnac, dame de Mennetou.

    Le Loup Bellin, éc., sieur de Mennetou

    Le Loup, Robert , seigneur de Mennetou sur Cher. Un des cent gentilshommes du Roy(1521)

    René de Malain, dit le Loup, seigneur de Mennetou sur Cher. (1594-1640)

(...) François, seigneur de la Roche-Aymon, né le 16 janvier 1553....avait épousé, le 26 février 1576, Françoise le Loup, fille de Christophe, Baron de Menetou-sur-Cher, chevalier de l'ordre de saint Michel....(...).

      Claude de Vaudenay ou Voutenay, seigneur de Menetou sur Cher.(1464-1470)

      "Hervé II, seigneur de Vierzon, Lury, Menetou-sur-Cher et la Ferté Imbaud...fit, en 1205, le voyage de saint Jacques en Galicie. En 1213, il fonda ou rétablit un monastère de filles dans sa ville de Menetou-sur-Cher..."

      "Hersende, femme de Guillaume III, seigneur de Lignières, dont enfants. Etant veuve, elle fit plusieurs dons aux religieuses de Menetou sur Cher, par charte du mois de février 1227.(Tit. original aux archives de M. le comte Jules de Menou.) Le gallia christiana la date, par erreur, de l'an 1226. Ce fut, probablement, par suite de cette alliance, que les seigneuries de la Ferté-Gilbert, de Menetou-sur-Cher et de Pruniers, entrèrent dans la maison de Lignières."    "Son fils Guillaume affranchit les habitants de Menetou-sur-Cher, ce qui fut confirmé, après sa mort, par Hervé IIIème du nom, son frère et successeur, au mois de novembre 1269." 

      Godemard de Linieres, seigneur de Menetou sur Cher et de Nançay: Guillaume de la Chatre lui acheta en 1372 (ou1371) la seigneurie de Nançay.

      Claude de Voultenay, écuier, seigneur de la Motte et de Menetou-sur-Cher, chambellan, premier maître d'hôtel de Charles de France, duc de Berry, étoit sénéchal en 1414.

        Du Bois de Mouzai et de Mennetou: "D'or , à 3 chevilles de sable, 2 et 1 au chef d'azur , chargé de 3 aiglettes d'argent." (à voir)

        Louis  Mis(?) de la Chastre, comte de Nançay, Jars, Mennetou, etc.

       7 août 1919: décés de la comtesse de saint Céran en son château de Préjeux à Menetou sur Cher. 

       (en 1848) ...de la religion universelle de Fauvety ou de la troisième et dernière Alliance, préconisée par le Dieu Cheneau, mercier de son état à Menetou sur Cher

       1er février 1936, le Prieuré, Menetou: Le docteur Jean Svartman et madame Simone Breitman-Svartman, avocat au barreau de Romorantin, nous font part de la naissance de leur fille Claude (Probablement un rapport avec l'actrice)