je commence un bien gros morceau et, aussi, une page de ma vie.
elle brille...c'est ce qu'elle a fait durant quelques années.
MS 1 FORMULE 3 Châssis n°2 1965: Cette voiture symbolise le début d'une riche et unique aventure sportive. La MS 1 va permettre à Matra de se faire un nom dans le monde de l'automobile et d'écrire la première ligne d'un palmarés riche de 124 victoires en moins de 10 ans. Pour sa première course au grand prix de Monaco du 29 mai 1965, Matra engage deux formule 3. Le châssis n°1 est piloté par Héric Offenstadt et le châssis n°2 par Jean Pierre Beltoise. Le 1er juillet 1965, Beltoise donne la première victoire à Matra sur le circuit de Reims.
précisions apportées par un contributeur: Jacques Jollain
"Bravo pour votre blog qui fait honneur à la marque Matra. Par contre concernant les débuts de Matra en compétition (GP de Monaco F3 du 29.05.1965) les 2 voitures engagées étaient celles de Eric (sans H) Offenstadt et Jean-Pierre Jaussaud. Beltoise n'a pas participé à cette 1° course de Monaco car sa voiture n'était pas encore complètement achevée. Concernant les numéros de châssis que vous annoncés j'émets quelques doutes. Les F3 et F2, types MS5 et MS6 construites à partir de 1966 ont des numéros de châssis dont l'historique est à peu près limpide. Mais pour les MS1 et MS2 construites au cours de l'hiver 1964 - 1965, c'est beaucoup moins clair. Si vous voulez plus d'informations à ce sujet allez sur le site Autodiva et tapez Matra F3 dans le moteur de recherche du forum. Un membre de ce forum - Expert Matra - Jean-Paul Humbert (club René Bonnet Matra Sports, société EPAF, ancien de chez Matra à Romorantin notamment au musée Matra où il était responsable de la reconstruction des voitures détruites à l'époque) donne beaucoup d'informations à ce sujet (il possède les archives officielles et d'époque de Matra Sports). Bien cordialement."
MS 5 formule 2 châssis n°5 1966: Voiture reconstruite avec les piéces d'origine et une coque neuve (coque originale détruite en 1969). Voiture client aux couleurs de l'écurie John Coombs pilote Graham Hill.
Châssis
JS 17T
Formule 1
1981
prototype
du châssis
de formule
1 réalisé
par
l'écurie
Ligier
destiné
à
recevoir
le V6 Turbo
82. Cette
assemblage ne vit jamais le jour.
MS 6 Formule 2 Châssis n°11 1966: Cette voiture (décoration GP F1 du Nurburgring) a remporté le championnat d'Europe en 1967. Construite en 1966, pour courir en formule 2, 1000cm cube, elle est modifiée en formule 2, 1600cm cube pour l'écurie Tyrell et pilotée par Jacky Ixck.
MS 10 Formule 1 Châssis n°2 1968-69: La MS 10 N°2 apparaît la première fois au grand prix d'Espagne le 12 mai 1968. Elle est pilotée par Jean Pierre Beltoise qui dispute son premier grand prix sur une F1. Première victoire pour la MS10 pilotée par Jackie Stewart au grand prix de Zandvoort. C'est sous la pluie et le brouillard de Nurburgring que la MS10 remporte sa plus grande victoire. Jackie Stewart gagne la course avec plus de 4 minutes d'avance sur Graham Hill ! Un record qui tient toujours... La MS10 n°2 est la Matra qui a obtenue le plus de points en championnat du monde de F1.
MS 11/12 Formule 1 châssis n°2 1968: Cette monoplace a couru la saison de Formule 1 an 1968, pilotée par Jean Pierre Beltoise avec le moteur MS 9. En 1970, elle fut transformée en voiture laboratoire pour les essais du nouveau porteur, le V12 MS 12. Elle participa à des courses de côte dont elle en remporta un grand nombre.
DB Barquette Le Mans 1955: DB d'usine. Voiture en aluminium avec conduite centrale. seizième aux 24 heures du Mans 1966. Ce magnifique véhicule a été retrouvé aux Etats Unis, abandonné dans un champs, le châssis posé à même le sol depuis 40 ans. A partir de nombreuses photographies d'époque et de maquettes, la société Marc Perrier de Villefranche a restauré cette DB d'usine.
DJET Tubulaire René Bonnet 1963: Construite pour participer aux 1000 km du Nurburgring le 19 mai 1963, l'équipage Beltoise Basini dut abandonné suite à un probléme d'embrayage. Son châssis était composé de petits tubes d'acier pour alléger au maximum le véhicule. elle était trés fragile.
Prototype 610: "Coupé Napoléon". Cette voiture, conçue à l'origine pour le rallye, est la première de la lignée des prototypes Matra. Elle est apparue la première fois au rallye des Cévennes en 1965 avec au volant Servoz-Gavin et Fargeon pour sa seule et unique course. le modéle présenté est une reconstruction à l'identique avec pour base des piéces détachées, l'original ayant été détruit.
vue
d'ensemble.
MS 630 Matra sport prototype châssis n°4 1968: Trois premiers exemplaires voient le jours en 1967 (moteur BRM ou Ford, puis V12). Un an plus tard le châssis n°4 est directement équipé du V12 Matra. En 1968, la 630 fait entrer Matra dans la légende des 24 heures du Mans. A cause des événements de Mai, la course se déroule fin septembre sous une pluie battante. Le moteur d'essuie glace est rapidement en panne, Servoz-Gavin renonce, Henri Pescarolo reléve le défi. Il va enchainer plusieurs relais sans essuie glace. L'éclatement d'un pneu, peu avant l'arrivée, prive la n°24 de la deuxième place.
MS 640 Sport prototype Châssis n°1 1969: Voiture commandée par Jean Luc Lagardère pour la saison 1969 à l'ingénieur Robert Choulet, transfuge de la marque CD (Charles Deutch). Ce véhicule a révolutionné en son temps le sport automobile par ses techniques avant-gardistes. C'est au cours d'essais privés sur le circuit du Mans, que Henri Pescarolo va littéralement décoller dans la ligne droite des Hunaudières, alors qu'il atteint la vitesse de 250 km/h. Griévement blessé, brulé sur tout le corps et le visage, il mettra plusieurs mois pour guérir. la voiture est totalement détruite et la projet 640 abandonné. La voiture présentée ici est une reconstruction à l'identique du modéle de 1969. Ce chantier s'est étendu sur plus de dix ans.
quand Matra rimait avec Simca.
MS 660 Sport prototype- chassis n°03 1971: cette barquette n'a été engagée à des compétitions qu'en 1972 et aux 24 heures du Mans de la même année.
la 670 c
MS 680 Sport prototype- chassis n°1 1974: Dernière voiture Matra, la MS 680 est l'origine de la MS 670 B chassis n°3 modifiée pour participer aux 24 heures du Mans 1974.
quelques
formules
1.
des noms
qui font
encore
rêver.
l'intérieur
est
spartiate.
la mythique
Ferrari
Ferrari 156 B 1963
tiens une Peugeot. c'est rare, je ne me souvenais plus les avoir vu en compétition.
une voiture d'exception pour un pilote d'exception.
des
voitures
plus
récentes.
des
pilotes
encore
en
activité.
Alonso sur Renault et Hakkinen sur Mercedes.
que
d'évolution
entre
ces
différentes
formules 1.
allez
souffler
ce
type
de
bougies.
dur,
dur.
Dans un coin sombre du musée se trouve les mythiques moteurs Matra avec en plus, leurs sons mélodieux...que du beau bruit.
un travail
d'horlogerie.
que de
travail
en
amont!!
entendez-
vous
le bruit
mélodieux
du V12.
y
manque
plus
que
l'odeur.
F1 "ESPACE FUMEUR" : pour fêter leurs dix ans de collaboration, Matra et Renault conçoivent l'incroyable Espace F1, avec 10 cylindres en guise de bougies. Il utilise la F1 Williams Renault de 1994, Championne du monde tout juste modifiée au niveau du châssis et des trains avant et arrière. Sur cette base, on y greffe un habitacle d'Espace de serie adapté pour l'occasion. Par contre, c'est bien le V10 Renault de 800 chevaux qui sert à propulser le bolide. Le résultat est saisissant: de 0 à 100 km/h en 2.9 secondes, et de 0 à 200 en 6.3 secondes et une vitesse de pointe de plus de 312 km/h. c'est la seule F1 familiale connue.
le moteur vient de cette Formule 1:
on passe plus où moins aux voitures de série:
la
belle
bleu.
trois places de front...un concept.
loock
sportif.
peu-être l'ébauche du concept "Espace".
les
débuts
d'une
grande
aventure.
on y a
laissé
nos noms.
où
suis-je
??
là
peut-être.
et pour finir, celle qui n'a pas eu la chance, celle qui devait sceller le destin de Matra: l'Avantime.
quoiqu'en ai dit certains, c'était une excellente voiture avec quelques défauts de jeunesse certes, mais qui méritait d'aller plus loin...on ne refait pas l'histoire.
passons aux différents Proto développé par Matra.
ben oui, c'est aussi ça la recherche.
préfigure
la
M72
morte-née.
c'est l'ancêtre des monospaces d'aujourd'hui: le P18.
tout terrain Espace. et le taxi malaisien qui lui a été produit.
l'écologie était déjà dans les cartons.
Sous le capot se trouve une turbine qui fonctionne au kérosène. Son rôle est double, elle permet à la fois de tracter le véhicule, mais en parallèle elle recharge les batteries siruées dans le plancher. Comme sur la Toyota Prius, lorsque les batteries sont chargées, le véhicule passe automatiquement en mode électrique.
châssis d'Avantime. Traitement par galvanisation à chaud. Les châssis sont plongés dans un bain de zinc en fusion à 480°, cela les rend inoxydable et plus rigide. un savoir faire de perdu..
et voilà la Zoom, une petite voiture marrante et révolutionnaire.
Zoom 1992: Ici en position de stationnement. à l'aide de deuv vérins, elle se replie sur elle-même pour passer de 2.65m à 2.1m. Cela permet de stationner prés d'un trottoir, perpendiculairement, entre deux voitures garées d'une manière classique. Ses portes en élytre favorisent cette manoeuvre. Equipée d'un moteur électrique, elle posséde une autonomie de 120 km et peut atteindre 120km/h, ce qui aurait fait une citadine parfaite.
on a tord d'avoir raison avant les autres.
P 70
roadster P 43. Et le P41 ci-dessous.
tiens un twingo...heu non la P 50 étude qui donnera la Zoom.
le P48 ...beaucoup de batteries, prélude d'une voiture électrique.
et voici une voiture innovante: le p29 qui propose des solutions nouvelles...
l'arrière.
P55: 2 places + 2 places dos à la route à l'arrière. volant et pédalier retractable par système pyrotechnique. Carrosserie non vulnérable aux petits chocs urbains..on innove, en veux-tu en voilà.
même en bois.
p76 Tata 1998: préfigure les voitures peu chéres.
vue
d'ensemble.
ESPIDER étude 1998: réalisée par les élèves de l'école de style Espera sous la direction de Franco SBARRO avec la participation du désign Renault. il a fait l'ouverture des 24 heures du Mans en 1998.
pas mal.
M 530 Sonia Delaunay
M25 concept-car P38: véhicule anniversaire des 25 ans de Matra. rapport poids/puissance= 3.5kg/CV, de 0 à 100 en en moins de 5 secondes.
et enfin la M72 tout était prêt, enfin presque tout...il n'y avait plus la volonté. il y avait surtout des actionnaires....