Histoire
voici quelques photos du temps passé trouvé sur le site du ministére:
à revoir où si vous avez du courage ...recherchez sur le site.
Villefranche est la réunion de deux paroisses: Villefranche et L'Hôpital. des vestiges prouvent l'existence du village dés le début de notre ére. l'Hôpital fait penser aux Templiers. un donjon dans un parc privé ,rappelle l'existence d'une commanderie. Une charte de 1172, faite par Hervé Ier, seigneur de Vierzon, légue aux hospitaliers de Jerusalem les terres de Villefranche. L'éthymologie de Villefranche viendrait de "Ville affranchie" mais aucune trace de cette affranchissement. C'est le 14 mai 1831 que la réunion des deux bourgs commencera. la décision définitive est prise par ordonnance royale le 19 février 1833. le maire de Villefranche prend les rènes des deux communes.
Pour en savoir un peu plus: 
villefranche 1.pdf
et cela en plus:Villefranche 2.pdf
L'église romane date du XIIème siécle. Elle est dédiée à sainte Marie Madeleine.
à voir: Villefranche sur cher, prés de Celles; Poltrot y rencontre la Rochefoucauld.
Extrait de "Mémoires de la société des antiquaires du Centre." Edition 1879.
La justice ordinaire était simultanément exercée dans ce baillage par la couronne et par le commandeur de l'Hospital. On en trouve la preuve dans deux actes des 30 décembre 1531 et 29 mars 1532, dont le préambule est ainsi conçu: " A tous ceux qui ces présentes lettres verront, Jehan Gallus, licencié és-droit, bailli de Villefranche-sur-Cher pour le roi, notre sire, et Jehan Moireau, licencié és-lois, bailli de Villefranche-sur-Cher pour Monseigneur le commandeur de l'Ospital du dit lieu, savoir faisons,..." Ces actes, contrairement à l'usage, portent traces de deux sceaux. Guillaume Amiot, procureur fiscal, 25 avril 1681. Catherine Lefebvre, veuve de M. Guillaume Amiot fait procéder, en mai 1688, à l'inventaire de ses biens meubles. Gabriel Boutiller, sieur de la Houpanne, procureur fiscal du Baillage de Villefranche-sur-Cher, 4 août 1726. Jehan Botiller, clerc, notaire, juré, 30 décembre 1531-29mars 1532. Jehan Boutiller, notaire juré sous le scel du baillage de Villefranche-sur-Cher, pour Mgr de Béthune, 10 juin 1626.
Extrait de "Bulletin de la société académique du Centre." Edition 1897.
Maison du temple de Valençay, dépendait de la commanderie de Villefranche-sur-Cher. Les habitants qui demeuraient dans la circonscription voisine, appelée le Bas-Bourg, étaient justiciables du commandeur, relevant, par appel, de la justice du grand-bourg qui relevait du baillage de Blois. On l'appelait aussi Bourg ou Bas-Bourg de l'Hôpital (1226)
Extrait de "Archives de la famille Bonnault" Edition 1882.
Jean de Bonnault mourut le 5 août 1657, sa veuve (Catherine de Reuilly) était remariée en 1661 à Jean de Sathenat, écuyer, seigneur du Mont et de Vouzeron en partie. Nous trouvons ces détails dans la piéce suivante qui est trés longue; et qui contient la saisie de Méry et son adjudication à Elisabeth de Berthereau.... (description)...Le 18 août Messire César de Groslier, chevalier de l'ordre de saint Jean de Jerusalem, grand prieur d'Avergne, commendeur de commanderie de Villefranche sur Cher, fait opposition à la vente."
Extrait de Mémoires de la société des antiquaires"...
1891: ...Le 27 novembre 1449, Jean Ponton, bourgeois de Graçay, fait foi et hommage au chapitre de la Sainte-Chapelle, comme baron de Graçay, à raison d'un terrain situé au port de Saint-Julien-sur-Cher. Charlotte d'Argouges du Moulin, dame de Lyot en la paroisse de Langon, fit rebâtir tout à neuf un moulin sur cet emplacement, et le 16 juin 1530, Vincent du Puy, seigneur de Vatan , son gendre, en fit pour elle foi et hommage au chapitre. Bientôt mêm la dame du Lyot en passe bail à rente à Vincent du Puy, qui en fit un nouvel hommage le 15 juin 1544, comme tuteur des enfants que lui avait laissés Jeanne du Moulin, sa défunte épouse. Jacques d'Estampes, seigneur de Valençay et de Lyot, en fit à son tour foi et hommage à Graçay, le 16 octobre 571. Jean d'Estampes en fit hommage le 25 août 1596.
Encore près d'un siècle s'écoula sans apporter de trouble à cette paisible possession, lorsque, le 4 septembre 1673, Charlotte Bruslart de Sillery, dame du Lyot, veuve de François d'Estampes, marquis de Maulny, passa bail à rente à son meunier Macé Girault, de ce moulin du port de Villefranche et de Saint-Julien assis sur la rivière du Cher. Girault en porta son hommage à Graçay, le 27 juin 1682. Les officiers du comté de Blois s'aperçurent seulement alors que la roue, dépassant du fil de l'eau, se trouvait en Blésois. Ils produisirent l'extrait d'un vieil aveu de 1344, rendu au château de Romorantin par les anciens seigneurs du Lyot qui possédaient la moitié du moulin, îles, bois et pêcheries situés entre le fil du Cher et Villefranche. Saisie féodale du Moulin fut opérée le 18 décembre 1683, par le domaine de Romorantin, faute de foi et hommage.
Le chapitre essaya de défendre ses droits, en invoquant les hommages successifs qu'il avait reçu; il ne réussit qu'à justifier de sa bonne foi et fut contraint, le 22 mars 1686, de donner pouvoir à Pierre Gallus, avocat à Romorantin, de comparaître à l'audience du baillage de cette ville pour consentir en son nom à ce que la roue du moulin et dépendances situées en Blésois, soient attribuées au domaine du Roi.
En conséquence, le 2 mai 1686, M. de Lestrée, grand maître des eaux et forêts au département d'Orléans, ordonna que Macé Girault, acquéreur du moulin, aurait à rendre foi et hommage au roi et au duc d'Orléans pour la moitié de ce moulin et ses dépendances situées entre le Cher et Villefranche; l'autre moitié , du côté de Saint Julien, relevant en fief de MM. de la Sainte-Chapelle de Bourges, barons de Graçay.
L'emplacement de cette contestation féodale a maintenant bien changé de face, et se trouve placé à trois cents mètres de la rivière, depuis que le Cher, perdant peu à peu ses innombrables îles, a concentré toutes ses eaux dans un seul lit. Si bien que du moulin, comme des comtes de Blois et des barons de Graçay, il ne reste plus que le souvenir.
Extrait de "Mémoires de la société historique,...". Edition 1914.
Villefranche-sur-Cher, canton de Mennetou-sur-Cher, dépendait de la province de Berry. Son seigneur ainsi que ses habitants furent représentés à la rédaction des coutumes de Lorris-Montargis.
le septier de Villefranche est de huict bô revenant à celui de Bourges.( Le septier mesure de Ville-franche est de huit boisseaux, et revient à celle de Bourges.)
Extrait de "Mémoires de la société d'agriculture..." Edtion 1852- 1997.
" Lemna arrhiza, Lin. Wolfia arrhiza. Cosson et Germ. Si je dis à ceux d'entre vous, Messieurs, qui n'ont aucune connaissance de cette plante, qu'elle est grosse comme le quart de la tête d'une petite épingle et qu'elle en a la forme, loin de s'étonner de m'entendre ajouter qu'elle est trés rare en France....M Martin de Romorantin, l'a découverte à Villefranche sur Cher."
Extrait de "Nobilaire de l'Orléanais." Par C. de Vassal.
Pierre Dorliens(d'Orléans), écuyer, sire de Redde (Rère)fit, le 11 juillet 1447, un partage de serf de sa terre d'Aubefons, située en la paroisse de Langon, avec le commandeur de Villefranche-sur-Cher.
Jean de Gauvignon, IIIème du nom, écuyer, seigneur de la Gaudinière et de Villefranche-sur-Cher, le 31 mars 1662: "Jean Gauvignon, escuyer, sieur de la Gaudinière, Nicollas Gauvignon, escuyer, sieur de la Martinière, François Gauvignon, escuyer, sieurde la Bazonnière, et damoiselle Jeanne Gauvignon, ennffans mineurs de deffunct Jan Gauvignon, vivant escuyer, sieur de la Gaudinière, conseiller secrétaire du Roy, maison et couronne de France et de ses finances, et de deffuncte damoiselle Ester Bugy, leurs père et mère," portèrent foi et hommage au seigneur de Montgouault, pour le lieu de la Noue et le censif de la Motte, situés en la paroisse de Veillein.
Extrait de "La réforme sociale". Janvier 1914.
Dans cette région que nous venons de passer en revue, il est des endroits comme Villefranche-sur-Cher,...,où le travail de la lingerie répond mieux à la conception idéale de l'industrie rurale; c'est à dire qu'il ne détourne pas les femmes des travaux champêtres puisqu'il n'est exécuté que dans la morte saison agricole. C'est l'exception, il est vrai, plutôt que la règle, mais une très heureuse exception que nous retrouverons encore dans les départements du Nord. Malgré la modicité des salaires, le travail de la lingerie est trés recherché dans ces localités du Berri, puisque les femmes peuvent l'exercer sans négliger les soins du ménage ou même en surveillant le bétail et que sa rémunération constitue un précieux salaire d'appoint.
Extrait de "l'Alliance,..." Décembre 1902.
le 22 septembre 1902: Collision entre 2 trains à une bifurcation en gare de Villefranche-sur-Cher. 11 blessés.
Personnages: "Normant Antoine, représentant du peuple en 1848, né à Villefranche sur Cher le 17 mai 1784, mort à Romorantin le 6 septembre 1849, orphelin de bonne heure et l'ainé de sept frères et soeur, fut d'abord simple ouvrier drapier, pui fonda, en 1809, une importante manufacture de draps qui occupa par la suite à Romorantin prés de 2000 ouvriers. Ce fut lui qui introduisit en 1811 dans cette ville les premières machines à fabriquer le drap. maire de Romorantin, conseiller général du département, il fonda, de ses deniers, en 1835, une salle d'asile, et aida les malheureux de sa bourse lors de la disette de 1847. Il fut élu, le 23 avril 1848, représentant de Loir et Cher à l'assemblée constituante, le 3ème sur 6, par 45808 voix (60934 votants, 66677 inscrits). Il fit partie du comité de travail, et vota pour le bannissement de la famille d'Orléans, contre l'abolition de la peine de mort, contre l'incompatibilité des fonctions, contre l'amendement Grévy, contre la sanction de la constitution par le peuple et contre la proposition Rateau. Il était absent lors du vote sur l'ensemble de la constitution; sa mauvaise santé ne lui permit pas d'ailleurs de siéger assidument. Non réélu à la législative, il mourut quelques mois aprés." à voir aussi son influence sur le tracé du chemin de fer et de la national 20 qu'il ne voulait pas voir passer à Romorantin
Commanderie de Templiers de Villefranche sur Cher, en 1221 l'Archevêque de Bourges Simon de Sully les obligea à reconnaître qu'ils dépendaient de lui. ( Archidiocèse de Bourges,..par G. Mingasson. Edition 1916)
(vers 1564) Robert de Saint-Marsaut, chevalier, baron de Parcou, petit-fils de François de Saint Marsaut, chambellandu roi François 1er et son bailli en Périgord auquel sa Majesté donna les seigneuries de Villebrosse, Villefranche-sur-Cher, Villy et Millensay au baillage de Bloi, qui lui appartenaient de son ancien patrimoine comme issus des comtes d'Angoulême, par lettre patente du 24 février 1520...(Indicateur archéologique de l'arrondissement de Civrai...Par Pierre Amedée Brouillet. Edition 1865.)
François Foucaut de Beaupoil-Saint-Hilaire, chevalier de Saint-Jean de Jérusalem, commandeur de Villefranche-sur-Cher en Berry, capitainedes vaisseaux du Roy, major de la marine du Levant, Porte: de gueules, à trois couples pour coupler des chiens d'argent, posés deux et un; et un chef de gueules, chargé d'une croix d'argent. (Armorial général de France:...Par Charles René Hozier. edition 1903-1904)
Villefranche-sur-Cher, près de Celles; Poltrot y rencontre la Rochefoucauld.(Histoire ecclésiastique... Théodore de Bèze. 1883-1889)
M. Jacques Vaunois, ingénieur agronome, à Villefranche-sur-Cher.(a écrit quelques poèmes)
François de Green, seigneur de Saint Marsault, de Millançay, de Villefranche-sur-Cher et de Villebrosse, chambellan du roi François 1er, reçut le sénéchalat le 15 févrir 1516 et le conserva jusqu'en 1526.
Antoine, fils de Balthazard de Disimieu et de Claudine de Clermont, né en 1569, chevalier de Malte, commandeur de Villefranche-sur-Cher, mort en 1625.
Antoine-Hercule de Disimieu fils de César(frère de Antoine), chevalier de Malte, commandeur de Villefranche-sur-Cher et les Bordes, par provision du 14 octobre 1633.